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Les dispositifs d’incitation à la rénovation énergétique se multiplient, encore plus avec le plan de relance gouvernemental post-Covid-19, un député s’interroge donc sur le coût des désamiantages rendus nécessaires lors de ces opérations et qui peut être un frein à la concrétisation des projets.
La réglementation impose de réaliser un repérage amiante avant toute opération de travaux sur un bien immobilier, en vue d’évaluer les risques au cours du chantier et d’adopter les mesures de prévention qui seront adaptées.
Il est indispensable de procéder à un repérage amiante avant des travaux de rénovation énergétique car la recherche d’amiante se veut beaucoup plus complète que celle effectuée pour des états d’amiante avant vente (DTA, ou des DAPP). De ce fait, en cas de présence d’amiante, le coût global de l’opération peut être revu à la hausse dans des proportions très élevées.
De plus, la pose d’une isolation thermique par l’extérieur (ITE) sur une façade comportant des supports amiantés,n’est pas impossible mais, nécessitera des précautions et des solutions adaptées au risque qui entraîneront un budget plus conséquent.
C’est pourquoi,il faut s’interroger sur le reste à charge pour les propriétaires en dépit des aides existantes de l’Agence nationale de l’habitat (Anah). En effet, l’Anah accorde des subventions pour des travaux de désamiantage sous certaines conditions bien évidemment.
Le budget de reste à charge est bien trop conséquent, ajouté au financement des travaux de rénovation énergétique eux-mêmes partiellement aidés, demeure trop important c’est pourquoi de nombreux propriétaires reportent ou abandonnent le projet.
Il serait donc proposé la mise en place d’un « plan ambitieux de désamiantage à destination des propriétaires » qui permettrait d’augmenter les aides et de tendre vers un reste à charge zéro pour les ménages les plus modestes.